Il y a 10 ans, les Wangazidja avaient fait une prière mortuaire pour le président Sambi.
10 ans après l’histoire s’est répétée. Ce dimanche 26 mai 2019 les Comoriens de Marseille ont porté un cercueil en simulant la mort du président t Azali Assoumani. Sans doute les langues se délient-Ils pour dénoncer un acte « indigne » d’un peuple dit musulman. Certes, ça fait mal de se voir se voir passer pour mort alors qu’on est en vie. Mais qu’on se remémore, si l’impopularité d’Azali est unique, il n’aura pas été le président à manger son pain noir. Son prédécesseur Sambi est passé par là.
En 2009, l’homme au turban a en effet fait l’objet d’une contestation populaire au point que la population de Ngazidja en particulier a organisé une prière mortuaire en sa faveur. L’événement était osé puisque les faits ne se sont pas déroulés à l’extérieur du pays mais bien à Moroni…en face du bâtiment abritant la direction générale de la sûreté. Sur cette image archive, l’on voit en premier plan Abasse Mhadjou, aujourd’hui allié d’Azali Assoumani. Ils ont mimé une prière mortuaire destinée au président Sambi, un faut cercueil placé devant avec un linceul estampillé « Ngazidja tsi fidiya ya Sambi » (Ngazidja n’est pas sacrifié pour Sambi).
Oui cette fois si vient le tour de grand Putschiste du monde !!!! , ce qu’il lui reste c’ est partir à Gwantanamo KAMA TUDIN TUDAN
Azali a instauré une fracture sociale sans précédente puisque non seulement qu’il a changé la constitution à sa mesure mais il continue avec ses mots démesurées en vers les Anjouanais et Moheliens à créer un sentiment de non appartenance à un seul pays ou un seul peuple.
on va continuer à prier qu’il tombe comme il a fait tomber les enfants des autres