Drôle d’info :
D’après ses statistiques, « il doit en avoir approximativement 2 millions de moinazidakani » aux Comores. C’est partant de ce constat « accablant » que la candidate à la présidence de l’Union entend donner au coup de fouet au statut de la femme. « À l’heure d’internet, on ne peut pas avoir des femmes moinazidakani, il faut qu’elles aillent à l’école apprendre le français, il faut qu’elles parlent bien la France » a-t-elle plaidé.
Son programme ne s’arrête pas là. Elle veut également imposer des quotas pour les femmes dans tous les métiers « à commencer par les taximans et les chirurgiens ». Mais pas que. « Il faut également des notables femmes, de Wana mdji femmes, des wafoma mdji femmes et des hommes-femmes… » décrète-t-elle, très calmement.
A la question de savoir si cela ne sera pas fait au détriment des hommes, la Dame du Hamahamet a répondu clairement « comme disait Mbae trambwe ya zaye gnoha kadja latsa ». Nous n’avons pas saisi la portée de sa réponse.
Altwawn
Réagissez à cet article