Sur la place Massena, le collectif comorien s’était donné rendez-vous à 15 heures.
Sur la place Massena, le collectif comorien s’était donné rendez-vous à 15 heures. Tous se sont déplacés avec une seule idée en tête : afficher leur protestation contre le régime du très contesté président Azali Assoumani, réélu le 24 mars aux Comores.
UNE ÉLECTION DISCUTÉE
Pour ces binationaux, battre le pavé est une façon d’afficher leur solidarité avec le peuple comorien. « Nous voulons la liberté, la démocratie. Le président sortant a trafiqué les suffrages et s’est autoproclamé sans autorisation du peuple. Ce n’est pas une élection, on est en dictature. Le régime enferme tous les opposants ! », s’indigne le président du collectif comorien des Alpes-Maritimes, Nadjim Maecha. Avant d’ajouter : « Le peuple est persécuté et ne pourrait pas manifester sur place mais ici, c’est différent, on est libre ! »
Source : nicematin.com
Arrêtez les manifestations et faites en sorte que chacun mette la main dans la poche pour collecter une belle somme d’argent pour payer un tueur afin de finir avec ce malade mort-vivant Azali , si vous voulez vraiment apporter la paix aux comores.