En ce moment (16h, heure locale, Ndlr) à Nioumadzaha Bambao où la circulation sur la RN1 est rendue difficile suite aux pluies diluviennes qui ont fait sortir de son lit la rivière Mboungou en furie.
Ceux qui à qui reviennent la gestion des catastrophes naturelles commencent déjà à se frotter les mains dans l’optique de faire fortune sur la misère des sinistrés, comme c’est toujours le cas chez nous. Il y a eu en 2012, suites aux fortes et ravageuses pluies qui avaient duré plus d’un mois, l’afflux de l’aide internationale mais vite détournées par des mains scélérates, avides, donc moins magnanimes.
Quatre mois après Kenneth, les aides se font toujours attendre, mais du côté des naufragés, et ceux qui ont perdu leurs biens suite au passage du cyclone ont carrément perdu espoir d’être secourus. Et si on s’était trompés de religion…?
Abderemane Ali (Titre: Comores Infos)
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