L’obscurantisme et le clientélisme ont encore des beaux jours devant eux. Nommé délégué à l’éducation de base par la gouverneure de Ngazidja, Mohamed Toiyamou a tué une vache et des chèvres dans son village de Gnoumadzaha Bambao où il a invité hier les autorités essentiellement issues de la région. Du ministre des finances à celui de l’intérieur, en passant par le député de Bambao et la gouverneure de Ngazidja, tous étaient présents à cette cérémonie de remerciements. Ces pratiques rétrogrades ne riment pas avec émergence qui exige une révolution mentale. Ironie de l’histoire, il exige aux agents de l’Education un changement radical des mentalités. Malheureusement, Azali ne doit pas compter sur Toiyamou sur ce point précis. Ce délégué qui ne sait pas aligner deux phrases en français dans un pays où la langue officielle et d’enseignement est celle de Molière, préfère faire fi de l’évolution et s’agripper au système pour mieux se tenir debout et sauver son poste.
On est Nioumadzaha bambao pour autres fois merci de votre compréhension
C’est une mentalité comorienne, rien d’étonnant.
Voila l’émergence de AZALI ce monsieur je le connais comme ma poche, il à fait ses études en Syrie, evec un fausse bac il à même pas fini ses études en politique, même la langue arabe il est nul, il ne pas de tout honnête, un pays des aveugle, comment un personne idiot peut gérer un poste sur l’éducation, voila l’émergence, ina lilah.