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Par soif de pouvoir, Azali rend incertain l’avenir du Pays

Opinion libre : Ce matin, s’est tenu un atelier à l’hôtel le RETAJ pour la validation du budget du référendum qui va enterrer définitivement la Tournante. Une nouvelle constitution, celle conçue par NIDHOIME ATTOUMANE et ABDALLAH MSA va voir le jour au lendemain du dit référendum.
Pendant qu’on nous divertit d’attentat, de tentative d’attentat, de massacre inqualifiable, c’est en catimini que l’handicapée Cour Constitutionnelle, la mafieuse CENI et le Conseil National de Presse et Audio visuel (CNPA) et le Ministère de l’Intérieur tablent sur un budget dépassant le milliard de nos francs.

LARIFOU, l’avocat Procureur, SOUNHADJ, le pseudo cardiologue détective privé analysent les clous de Bandarsalam et promet le feu et le sang aux personnes désignées pour les tortures afin de briser toute resistance contre le référendum.
Le Colonel et bourreau ANRIFI que je connais de triste expérience se trouve aux anges, car champion de la maltraitance, de la torture, compensant ainsi son impuissance comme disent les mauvaises langues à Fomboni.

Cette manne financière dépassant le milliard prélévée aux contribuables comoriens va deservir le peuple, mettre en péril l’unité du pays et plonger la société dans la haine et les conflits.
C’est ici que je mesure la naiveté des politiciens comoriens qui hésitnte, qui semblent méconnaitre le militaire AZALI.
Pourquoi les membres de la Cour Constitutionnelle siègent, notamment ceux des Gouverneurs et de l’Assemblée Nationale?

Pour couronner le tout, des journalistes en herbe menacent les comoriens vivant à Mayotte, la Reunion et en France de mandats d’arrêt parce qu’ils sont engagés et agissent pour dénoncer la dictature dans un pays où l’on instaure la pensée unique. Monsieur NAKIDINE HASSANE, nous attendons vos mandats! tu ferais mieux d’aller à l’école.

Oui, les conditions sont réunies pour transformer d’honnêtes citoyens en mendiants, des arrivistes opportunistes en experts; mais je crois à un grand NON des populations des trois îles qui va arrêter net la fin du pays.
Les militaires sont avertis que le pays ne repose sur aucune institution judiciaire et législative. Eux seuls peuvent éviter le pire que s’apprète à faire l’un des leur, laissant une mauvaise image des hommes en uniforme.
De « nayilé ilalé », on passera à « nayiliché yintsi ifé ».

BEN ALI.

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