«Nous ne voulons pas exclure les agences ; elles ont un rôle à jouer, mais il faut qu’elles reconnaissent qu’aller à la Mecque n’est pas un voyage comme les autres. C’est l’accomplissement du 5ème pilier de l’Islam, c’est un voyage d’utilité publique et d’obligation religieuse. L’Etat a une obligation dans ce contexte précis, de créer les conditions pour que l’accomplissement du pèlerinage se fasse dans les meilleures conditions», a déclaré le ministre des Affaires islamiques.
Le président de la République a signé le 14 juin dernier un décret N°16-103 portant modification de certaines dispositions du décret N°16-039 du 22 février 2016 relatif à la ‘‘création, composition, missions, organisations et fonctionnement d’une commission chargée du Hedj et de la Umra en Union des Comores’’. En son premier article, le décret remplace le représentant des agences de voyages par celui du Muftorat.
Le deuxième article abroge le 1er tiret de l’article 7 du décret 16-039 qui stipulait que «nul ne peut être nommé membre de la commission s’il n’est, à l’exception du représentant des agences de voyages, pas fonctionnaire de l’administration».
Pour le ministre des Affaires islamiques, ‘‘les pèlerins sont des invités de Dieu et pas question que certains se fassent de l’argent sur leur dos.
Nazir Nazi / Alwatwan
Merci!Merci! Merci! Mr le Ministre .De telles décisions que le peuple comorien veut vous voir prendre . Des actes rien que des actes .
Bravo! Petit à Petit.