Les iles Comores sont au bord du chaos. Notre pays a pendant des années eu des chefs qui se sont enrichis. Notre pays est plombé par une crise aiguë sans issue. Nous pouvons, entre autre, citer les délestages intempestifs en électricité et en eau, les couts vertigineux des denrées alimentaires, le chômage endémique des jeunes, les crises à ne plus en finir dans les secteurs importants tels que l’éducation et la santé. L’affaissement des institutions républicaines, les pillages systématiques des deniers publics par les anciens présidents comme Azali Assoumani, Ahmed Abdallah Sambi et le vice-président Mohamed Ali Soili alias Mamadou.
Face à ce délabrement irréversible de notre pays qui est à vau-l’eau en sus de l’impuissance dramatique du Président Ikililou Dhoinine qui veut assurer sa retraite en utilisant l’argent de l’opération Riyali pour placer sa femme au gouvernorat de Mohéli. Toutes les forces vives et de résistances nationales doivent se liguer afin de mettre un coup d’arrêt à Azali, à Sambi, à Mouigni-Baraka et à Mamadou.
Les Comores se dirigent vers un tournant décisif de son histoire politique où des pôles se dégagent en fonction des sensibilités idéologiques et des affinités politiques. Dans une déclaration faite sur Alwatwan, Achirafi Said Hachim assure «la récupération de l’argent public détourné à des fins d’enrichissement personnel.»
La candidature d’Achirafi Said Hachim est la seule crédible et fiable qui tienne la route et est en mesure de redresser le pays dans le domaine de la santé, de l’électricité et de donner à la diaspora toute sa place dans le développement du pays. Son parcours académique, professionnel et politique font de lui le seul Top talent qui ait un curriculum prestigieux d’envergure présidentielle.
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