Pourquoi cet entêtement ?

Opinion libre: Du dictateur AZALI, malgré un état de santé plus que préoccupant, à vouloir déstabiliser le pays, s’aventurer à vouloir s’éterniser au pouvoir et maintenir des personnes innocentes en prison?

Des politiciens comoriens, de tout bord, à vouloir légitimer un dictateur usurpateur en se présentant à des élections dont ils n’ont aucune chance de gagner?

On nous sort les théories les plus absurdes, les moins raisonnables, tantôt sur un candidat unique susceptible d’écraser AZALI, tantôt sur une légion de candidats en vue d’espérer un deuxième tour.
Oui, je vous l’accorde: MOUSTADROINE est un sot, un jouet de Madame, mais on lui souffle tout par avance; il est vachement imprudent, mais ne ment pas.
Il a été clair sur ce qui allait arriver à SALAMI trois mois avant; à Sima, il a parlé de l’inutilité de tenir un second tour sur leur présidentielle anticipée; DJAZA et sa famille n’ont pas droit à l’erreur; ils sont bien payés pour pour ne pas pousser jusqu’à 104%.

Un de mes enfants m’a demandé les raisons qui font que SAMBI ne se fait libérer par ces milliers des gens qui l’aiment et qui pleurent par émotion pour lui. Pour ne pas faire souffrir mon enfant, je lui ai dit que je lui expliquerai plu-tard, mais qu’il doit savoir que ces milliers de personnes ont peur de mourir.
J’ai compris qu’il n’est pas convaincu et m’a lancé, dans un air de dégoût qu’on en parlera le weekend.
Fans de SAMBI! Partisans JOUWA! disciples de l’Ayatollah! Faites en sorte que mon enfant n’apprennent ce que vous êtes vraiment: des faux, des opportunistes, des ingrats.
Rien qu’avec tous ceux qui sont venus l’accueillir à l’aéroport de Hahaya mobilisés de volovolo à Voidjou peuvent facilement et sans avoir recourir à la violence exiger la libération de SAMBI par une occupation illimitée de la rue ici ciblée.
Au péril de leur vie et celle menacée d’AZALI, IDJIHADI et DELAMI n’oseront pas tirer.
AZALI a ordonné et DJAZA s’empresse à fabriquer les Commissions électorales dès aujourdhui.
Vive la fraude pour que vive la dictature.

BEN ALI.