« Kapvatsi siri yahe CENI ne marayiyaa. Sha hayini ndrongowu nguizona wowakati ne namna yabidi zambwa. Sha, kapvatsi wumani wahatru ne ma journalistes. Rikahandza ridjuwe yeya yitoowa bassi. »
J’ai essayé de comprendre le message de cet éminent membre de la CENI qui fût autrefois un homme honnête et de principes. Et, je vous le jure, j’ai rien compris.
Il nous dit que la CENI aime les journalistes, mais ne laissera pas la presse faire son travail.
Il nous dit que la CENI n’a pas de confidence. Mais, personne n’a le droit de diffuser le contenu d’un document qu’elle n’a pas encore publié.
C’est parler pour ne rien dire.
Ce qui est renversant c’est que ces gens-là ont fait leur études en France, ont vécu en France (certains ont encore leurs femmes dans l’Hexagone), et suivent tous les jours l’actualité internationale sur comment travaillent les journalistes ailleurs. Mais, ils sont capables de produire les pires âneries jamais entendues sur la liberté de presse.
Par Me Moudjahidi
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