Le Ridja s’est défini un combat à mener pour l’intérêt des comoriens. C’est vrai le rêve d’un parti politique est d’avoir le pouvoir pour mettre en œuvre son programme politique et son projet de société. Mais un parti politique se fonde sur la base d’un projet et définit un combat à mener. Mais pas seulement de se contenter de bénéficier d’un poste ministériel ou d’une direction. Ces deux choses, ne sont pas les racines qui fondent et font survivre un parti politique. Mais un parti politique et un vrai leader politique engagé, est celui qui a un projet et un combat pour l’intérêt de sa société. Il y en a qui disent qu’ils sont fatigués. Quel combat ont-ils mené pour l’intérêt de ce pays. Vous avez besoin de quelque chose pour survivre, c’est votre droit, mais le commandant est toujours en forme et prêt à continuer le combat. S’il y en a qui ont l’habitude de se jeter en mer dès qu’ils ont constaté une panne du bateau, c’est leur droit, mais le commandant est toujours en forme et manœuvre pour ramer le bateau à bon port. Oui on n’a pas un pouvoir, mais le parti Ridja a un projet en faveur du développement socio-économique et l’émergence des Comores.
Le moment venu nous rendrons public le bilan de notre parti pour son combat en faveur d’un État de droit, libre et démocratique.
On lance un défi aux partis politiques existants de nous dire ce qu’ils ont apporté dans ce pays sans le pouvoir. Le Ridja est le seul parti dans ce pays, et c’est notre fierté qui a un bilan de ses actions sociales et politiques, qui défend les libertés sur le terrain et qui a connu la prison pour ce combat.
Le candidat Saïd Larifou, lors de sa conférence de presse sur le lancement de la campagne électorale.
Compte de Campagne du candidat
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