La bataille de l’Ortc est rude depuis la nomination d’Ahmed Saïd Djaffar au ministère des télécommunications. Le favoris pour prendre la direction est bien sûr le protégé d’Azali, Salim Hafi. Mais le poste attise les convoitises. Conséquence, Salim Hafi se fait des ennemis. Intimes en plus. Au premier rang, Djae Ahamada Chanfi. Cet ancien patron d’Al-watwan et actuel conseiller diplomatique du chef de l’Etat s’y voit à l’Ortc pour bien consolider son CV. En politique, tous les coups sont permis pour parvenir à ses fins. Ces coups semblent être violents que ça insupporte M.Hafi, la cible préférée de tous les prétendants et lui même adepte aux diatribes contre l’opposition. Aujourd’hui il a fouillé de fond en comble dans sa bibliothèque pour déterrer l’expression idéale à la situation. Il a tombé nez à nez avec une sagesse de Gandhi: « Il n’est pas nécessaire d’éteindre la lumière de l’autre pour que la vôtre brille », devrait-il écrire sur son mur Facebook. C’est un peu de la fratricide des proches d’Azali. Dans le même post, il laisse entendre que son sort est entre les mains d’Azali et non de ses concurrents.
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