Placé en résidence surveillée depuis le 19 mai, le cauchemar de l’ancien président Ahmed Abdallah Sambi pourrait se poursuivre jusqu’à la fin de l’élection présidentielle de 2019. C’est dans un entretien avec nos confrères de JeuneAfrique que le président Azali Assoumani a laissé planer le doute. Et Azali se cache derrière la justice pour justifier le placement en résidence surveillée de Sambi. Voici l’extrait :
Jeune Afrique : Quand l’ex-président Ahmed Abdallah Sambi cessera-t-il d’être en résidence surveillée ?
Azali Assoumani : Cela concerne la justice et ne me regarde pas.
Salim. A , Comores infos
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