A quelques jours du démarrage de la campagne électorale pour le second tour des élections présidentielle et des gouverneurs, aucun candidat parmi le 22 évincés par la CENI n’a pas fait une déclaration de soutien au trio en tête. Dans les coulisses des préparatifs de l’ultime sprint vers la Présidence, des alliances, des négociations et des fronts se forment dans les rangs politiques.
Au dernier virage d’une élection attendue, les trois candidats en tête de la course selon les résultats provisoire de la CENI, contestés dans un premier temps par une partie des candidats, n’ont pas encore reçu aucun soutien officiel de 22 candidats qui ont été à la ligne de départ. A l’heure des alliances et des négociations politiques, certains candidats ne cachent pas leurs volontés de rejoindre l’un des trois candidats en tête de liste mais jusqu’à présent aucune déclaration officielle.
Dans la foulée et dans les mêmes circonstances, un front composé de 19 candidats, dont la plupart n’ont pas dépassé malheureusement le 1% lors de l’exercice du premier tour, rejettent les résultats de la CENI. Au fonds de ce jeu, se retrouvent néanmoins des candidats pour le second tour. Chacun des candidats se vante de ses mérites et de son poids sur l’échiquier politique national pour ficeler une alliance avec les autres. Cependant, d’autres candidats comme Saïd Larifou 6,12% cinquième position et Bourhane Hamidou 5,77% sixième position tardent à se trouver un camp et forment le duo arbitral décisif du second round qui se profile à l’horizon
Déjà sur les 25 candidats au premier tour, 19 font déjà front autour de deux candidats alors que les autres n’ont pas encore annoncé leurs positions. Pourtant, le second tour sera joué dans ces jeux d’alliances politiques. A l’heure qu’elle est, seule Hamada Abdallah candidat independant au poste de gouverneur a déclaré son soutien au candidat Mamadou « Je n’ai pas besoin que les candidats- viennent vers moi. Je ne suis pas là pour marchander les voix qui sont derrières moi. J’ai toujours dis que la personne qu’il faut c’est Mamadou, ça n’engage que moi », a-t-il avancé.
Nakidine Hassane
Suffit-il de lever les bras et dire j’ai gagné alors qu’on ait vice président d’un pays sans hôpital, électricité, eau et route et j’en passe !!! C’est regrettable chers compatriotes, encore 5 ans supplémentaires dans l’obscurité totale.
Demandez lui dans quel domaine ce Monsieur va commencer !!!drôle et pourquoi pendant 5 ans il n’a pas fait !!!
Voter c’est un droit mais là où nous sommes arrivés,cette notion de droit est perdue puisqu’elle en va en soi avec justice et cette dernière n’existe pas.
A vous le peuple d’en juger et tôt ou tard, il y aura certains qui seront jugés dans les tribunaux internationaux et goûterons dans les geôles ce que le petit peuple comorien subit au quotidien.
VIVE LE PEULE