Opinion libre: SOUNHADJ ATTOUMANE, IBRAHIM HALIDI et d’autres suivront encore sont trahis par le dictateur AZALI qui agit comme il l’entend, c’est à dire unilatéralement.
Il impose, décide seul et dirige d’une main de fer.
HALIDI IBRAHIM croyait que les risques encourus pour défier le Nioumakélé, s’attirer la foudre d’Anjouan pour ouvrir le passage à AZALI allait payer pour une dernière chance à la tête d’Anjouan, la dernière car avec l’âge, « Massalouva » n’a aucune chance de briguer un mandat après cinq ans.
Très remonté, IBRAHIM HALIDI rumine sa douleur et fait un semblant de rébellion en se présentant candidat indépendant à la mouvance.
SOUNHADJ ATTOUMANE qui a dévoilé publiquement son amour pour AZALI s’est vu facilement éjecter comme un malpropre au profil d’un traître chassé par les anjouanais après cinq ans de détournement de fonds, de mafia au sein du gouvernement, bien servi par son directeur des impôts, puis responsable des Finances avec comme seul diplôme un faux licence en Histoire.
SOUNHADJ souffre doublement: l’individu investi par AZALI est cet ancien Gouverneur qui l’a humilié comme pas possible.Son neveu n’a rien pu faire, lu le CHARLES Blé Goudé d’AZALI, Directeur des aéroports.
A Mwali, BIAMRIFI serait entrain de faire ses valises, un peu hésitant.
SOUNHADJ souffre terriblement et il n’a pas digéré le coup. Je le suggérerais de repartir en France consulter un cardiologue avant qu’il ne soit trop tard. Conseil d’un proche.
BEN ALI.
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