Une fille de 11 ans originaire de Ntsudjini, traumatisée par l’intervention musclée des forces de l’ordre du 6 au 8 juillet, fait pression à son père pour rentrer en France où elle est née, et « ne jamais revenir aux Comores avant le départ d’Azali ». Elle n’est pas prête d’oublier ces moments pénibles qu’elle a vécus pendant 72h d’affilée, cloîtrée chez elle avec sa famille, sous un nuage de gaz lacrymogène et les innombrables détonations qui vont avec.
Source: Fcbk FM
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