A la sortie de la mosquée à Alkasmi à Moroni, le député Tocha a été frappé sauvagement par des gendarmes sous les ordres du gouvernement. La violence est devenue la norme depuis que le président Azali est revenu au pouvoir comme le constate les observateurs politiques. Il y a quelques jours des jeunes ont humiliés et tabassés sans raison.
Ici en France agressée un député ou un juge ainsi que un magistrat la loi prévoit 5 ans de prison ferme et 500000 d’amende mais les comoriens vous êtes loin de la liberté