Audition des suspects dans l’affaire de l’agression du gendarme le bureau de vote de Sans-Fil, l’ambiance était électrique au tribunal de Moroni.Pour l’audition de la dizaine de suspects, le Tribunal de Moroni fût placé sous haute surveillance. Il était interdit à quiconque d’entrer et cela quelque soit le motif.
Notre journaliste, Abderemane Ahmed Ibrahim, qui se trouvait à l’intérieur, a été accroché puis giflé par un gendarme de la brigade de recherches (PGN) pour avoir pris des photos des prévenus lors de leur arrivée au tribunal.Si la loi interdit la prise d’images sans autorisation dans l’enceinte du Tribunal, elle n’autorise pas un gendarme à molester un contrevenant qui ne présentait aucune menace.Abderemane a pu récupérer son téléphone une fois les images effacées.Ci-dessous la photo du journaliste, Abderemane Ahmed Ibrahim.Hayba fm
il faut chasser cet hommme barbare avec ses gouvernemet ;il a oublié le peuple comorien ;il voule rouiner les comores
les comores sont changes et deviennet ETAT de barbare ceux qui doivent faire la paix du peuples ceux sont qui tuent( polices -gendarmes etc…)
Il est temps de réglementer le métier de journalisme. Tout comme l’enseignement, aux Comores, est journaliste qui veut.
La déontologie du métier fait défaut, et n’importe qui fait n’importe quoi!
C’est pas méchant si ce journaliste n’ a reçu que des gifles .
On peut s’ attendre au pire dans un régime dictatorial .