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Vidéo: Sexualité précoce, une jeune fille comorienne témoigne,  » je regrette d’avoir couchée avec… »

La sexualité précoce des jeunes filles, un sujet tabou mais une jeune fille brise le silence dans un témoignage vidéo de l’ASCOBEF.  Moindjouma moussa dit avoir des regrets d’avoir eu des rapports sexuels dans sa jeunesse.

Avec son témoignage, la jeune fille veut mobiliser les jeunes à attendre le mariage avant de coucher avec des garçons. c’est aussi message de lutte contre les maladies comme le sida et autres…

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2 commentaires sur Vidéo: Sexualité précoce, une jeune fille comorienne témoigne,  » je regrette d’avoir couchée avec… »

  1. Profiter du radicalisme pour accuser l’islam est devenu de l’eau à boire dans une société comorienne en perte de ses valeurs et en avant vers l’aliénation mentale et culturelle.On oublie,parce que le complexe du colonisé nous a pris d’assaut,que les manigances perpétrées pour avilir l’islam et le musulman émanent des ennemis de l’islam bien qu’ils sont devenus les maîtres et guides de nos esprits.Pas un mot qui sort de nos bouches sans porter préjudice à l’islam,même le zinat(s’approcher à une femme ou un homme, la(le) toucher sans l’accord des parents selon les règles établies) qui semble aujourd’hui être un acte normal et sans tabou: dans les plages,dans les boites de nuits,dans les établissements scolaires les plus civilisés dit-on,dans les bureaux administratifs voire dans la rue le « zinat » reste visible. Alors,par rapport à la radicalité de l’islam et les chaines satellitaires,la consommation de l’alcool……,qu’est ce qu’en est le coupable si on est objectif et franc mon frère Mohamed Abdouïm ?

  2. C’est bien que cette jeune fille innocente et encore traumatisée se confie et ose lever l’omerta sur la sexualité précoce au sein de la société comorienne, qui plus est, structurée par une radicalité d’une certaine vision de l’islam.

    Cependant, ce qu’il faut retenir ce n’est pas tant le fait d’attendre le mariage pour avoir des relations sexuelles, mais ce qui devait nous préoccupé entant que société, c’est l’exigence de la maturité intellectuelle et physique de nos femmes et de nos soeurs comme de nos filles avant d’avoir des relations sexuelles consenties et bien comprises.

    Le mariage n’est pas la condition, il n’est qu’une forme de possibilité. Ce qui compte c’est la pleine conscience et la pleine liberté comprise, et par la maturité physique, et par la maturité intellectuelle, seules capables de dicter les bons choix et éviter les risques préjudiciables.

    MOHAMED Abdouraïm.
    Comores Indépendantes

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