L’acte de licenciement que le gouvernement Azali a posé au début de son mandat continue de faire gronder les principaux concernés. Cette mesure qui a touché l’ensemble du territoire fait l’objet d’une attention particulière à Anjouan.
Ces suspendus de la fonction publique, après plusieurs réunions infructueuses, prévoient de faire une marche pacifique et de demander l’intervention divine. Selon le porte-parole du collectif des victimes des suspensions abusives des exécutifs de l’union et de l’île autonome de Ndouani, « la situation ne fait que se détériorer.
Les autorités insulaires nous mènent en bateau et nos revendications devant le vice-président Moustadroine n’ont rien donné ». À y voir clair, l’espoir de retrouver leurs postes respectifs fond comme la neige au soleil. Avec le concours de la confédération des travailleurs Comoriens, « ses victimes » ont déposé un préavis de grève qui n’a pas abouti pour cause de non respect des procédures.
A.Athoumani, Comores infos
Le pays ne progresse pas dans les désordre.
Les soit-disants licenciés ont pris des risques en leur donnant des mensonges par les anciennes autorités.