Il veut une réconciliation avec moi, mais après ma mort. Par ARM
Ambari Darouèche dite Makapihi, «La Mère qui ne prépare jamais à manger», première épouse du dictateur fou de Mitsoudjé, a son discours bien rodé: «Cet ARM-là, celui ou celle qui me le ramène devant moi, je lui offre un milliard de francs comoriens»,
soit la modique somme de 2 millions d’euros. Un chiffre honorable. Son
petit discours a fini par atterrir sur les oreilles et sur une partie du
cerveau de son mari, le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger».
Dès lors, celui-ci a pris les devants. Il a rédigé le discours qu’il
veut lire sur ma tombe, mon oraison funèbre. Le texte est très
intéressant, et nous devons en prendre connaissance.
«C’est avec beaucoup de tristesse que j’ai appris la mort de mon
frère ARM, que Dieu l’agrée au Paradis. Dès que j’ai appris cette triste
nouvelle, j’ai appelé personnellement Ayad Bourhane, Directeur de la
Société AB Aviation, pour lui demander de rapatrier d’exil et à mes
frais le corps de l’un des enfants les plus méritants des Comores. Mon
frère ARM et moi-même avions en commun un amour sincère pour les
Comores. Nous étions en désaccord sur la manière d’exprimer cet amour,
mais notre amour pour notre pays était le même…..Lire la suite sur http://lemohelien.com/assoumani-azali-a-un-discours-fin-pret-pour-ma-mort
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