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Belou, Moustadroine, et chabhane chassés de la Mecque comme des malpropres

On pourrait les qualifier de « voyous de la République » tellement ils continuent de foutre la honte à notre pays. Le directeur de cabinet et les deux anciens vice-présidents se sont rendus à la Mecque en pillant l’argent cotisé par les pèlerins pour s’acheter des billets. Une fois sur place, ils auraient fait des pieds et des mains pour que le gouvernement saoudien leur donne de l’argent. Sauf que les Saoudiens ont refusé catégoriquement, par conséquent, ces trois autorités « malveillantes » se sont rabattues sur l’argent des pèlerins.

En effet, selon un témoin sur place, ces « voyous de la République » n’ont pas réussi à mettre la main sur l’argent des pèlerins. Mis au courant de cette situation honteuse, Azali Assoumani a ordonné le renvoie aux Comores de ces trois personnes et ce sans délai. Ils sont mis dans l’avion depuis hier à destination de Moroni comme des délinquants frappés d’une extradition.

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1 commentaire sur Belou, Moustadroine, et chabhane chassés de la Mecque comme des malpropres

  1. Daniel : « Nous avons accompagné le Pr Azali Assoumani avec effervescence à Beit –Salam après Dix années de chômage. Maintenant, nous nous devons de l’accompagner avec ferveur vers la bataille qui l’attend, l’ultime et éternelle victoire : celle qui vise désormais à ouvrir les portes du panthéon de l’histoire. Et cette bataille-là, pour aller loin, c’est la plus difficile à gagner d’autant plus que seuls les plus visionnaires et les plus courageux de ses nombreux fils l’accompagneront dans cette aventure hardie mais à jamais noble. Pour ce faire, je lui demande une vigilance renforcée. Et cette vigilance doit être de mise face à cette hargne de prébendiers à la recherche permanente de strapontins qui rôdent souvent et plus malicieusement leurs poils autour de nos chefs tentant ainsi de les attirer vers des chemins risqués et certains pour le pays. Ceux-là se jouent de notre fraternité, de notre quiétude et de la paix sociale. Voilà pourquoi, chers membres du gouvernement, je vous prie de tout mon cœur de transmettre au président de la République le message qui consiste à lui dire qu’il est le dernier rempart de la démocratie contre l’arbitraire aux Comores. »

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