Pour le premier ministre britannique, la priorité est de geler les dépenses des Vingt-Sept à leur niveau actuel. Le dirigeant conservateur, qui menace de mettre son veto à un mauvais accord, entend défendre le rabais dont le Royaume-Uni bénéficie sur sa contribution depuis 1984. Le dirigeant conservateur demande une réduction de 200 milliards d’euros par rapport aux propositions de la Commission européenne, qui se monte à quelque 1 047 milliards d’euros pour l’ensemble de la période 2014-2020.
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