Opinion libre : Nous avons un joli pays béni par Dieu: un pays ayant de l’eau en autosuffisance, une mer poissonneuse, une terre fertile à n’en plus douter.
Un pas de géant a certes été franchi en juillet 1975 par l’accession à la souveraineté nationale, mais malheureusement, le relais n’a pas été assuré par les premiers cadres formés post indépendance.
La plupart formée dans des pays où le taux de corruption est le plus élevé au monde: Madagascar et la Guinée. La culture sociétale de ces pays n’ont pas aidé un Comores peu préparé à suivre la marche de son destin.
Le père de l’indépendance avait un niveau presque de l’école primaire malgré un engagement exceptionnel et volontaire.
Sans encadrement, des tels personnalités basculent rapidement dans la dictature par la concentration des pouvoirs croyant bien faire.
ASEC, F.D, PASOCO, des formations ou mouvements improvisés qui se sont noyés et qui donnent aujourdhui l’impression d’avoir voulu agir pour être reconnus. Certains d’entre eux sont devenus des serviteurs des dictatures, des aigris, des effacés.
Presque bientôt un demi siècle depuis la naissance de la nation, aucune piste sérieuse pour un plan de développement, mais une montée inacceptable de la corruption empreinte d’une déshumanisation progressive. Un recul des intelligences.
La société s’accroche sur des faux mythes pour combler le vide.
On nous cite ALI SOILIH comme la référence!! en quoi l’est-il? Pour avoir imposer une dictature, instituer des corvées, instaurer le mercenariat, fragiliser ou entraîner la fausse couche de l’indépendance, aventurer le pays dans le communisme, privilégier la barbarie comme moyen de plier le peuple sans pédagogie?
Plus récemment, on nous vante les progrès de SAMBI, présenté comme une sorte d’Ali Soilih nouveau.
Là encore, je m’interroge sur cet engouement facile démenti par cinq ans de pouvoir sans réel impact. Un pouvoir certes mis en difficulté par des séparatistes mais qui n’a pas su rassurer par une justice inexistante, une complaisance notable dans la gouvernance, une série noire d’élections truquées et des gros projets sans réelle préparation. Là encore, les cadres et les techniciens de haut niveau ont abandonné le visionnaire SAMBI.
En prison depuis 8 mois, il est abandonné et oublié de tous, y compris son supposé parti JOUWA le plus « populaire » de l’archipel.
J’appelle les « Ché Guevara », les « SANKARA » et les « MANDELA » comoriens à relever le défi.
YES,WE CAN!
BEN ALI.
le problème monsieur est qu’il n’y a aucun « ché guevara » aucun « sankara » et aucun « mandela » au comore et même parmi les diasporas éparpillaient dans le monde entier. Des charlatans, oui il y’en a. pour une fois que je vois un comorien prononçant des paroles véridique et franchement bravo. Effectivement vos père de l’indépendance n’était pas instruit et a conduit son peuple au fond du gouffre. mais comment se fait-il que les intellectuels comoriens de l’époque n’ont pas vu ça. ou peut être qu’ils étaient tous de niveau intellectuel inférieur à celui du père de l’indépendance c’est à dire avec un niveau CM2. quand ahmed abdallah pensait que son café, sa vanille, girofle ferait des comores un pays riche, comment se fait-il que les intellos comoriens n’ont pas remarquer cette supercherie alors qu’ils prétendent être plus éduquer que tous. ou peut être ce sont des diplômes qu’ils ont achetés ou falsifiés.
concernant Ali soilihi, effectivement c’est aussi un charlatan.
que vous soyez d’accord ou pas seul les incultes-mahorais, les mécréants mahorais, les illétrés mahorais, les sauvages mahorais ont vu cette supercherie et la misère prochaine et certaine de l’union comore.