L’opposition et la société civile signent et persistent que des élections présidentielles auront lieu en 2021 pour le compte de la présidente tournante pour qu’un enfant anjouanais préside le pays comme le stipule les accords de Fomboni. Pour les proches du régime, il ne peut pas y avoir des élections puisque l’actuelle constitution ne le permet pas. Le porte-parole du parti Orange est de cet avis et lui va un peu plus loin.
« Ceux qui appellent à des élections en 2021 veulent à tout prix inciter à une déstabilisation. Ces gens là sont des ennemis de la nation », Mohamed Toiaam
Vous pouvez dire tous ce que vous voulez mais l’accord de paix signé les représentants de chaque île ne doit pas pris comme un chiffon au dépend d’un groupe qui ne pense qu’à leur tête.on comprend que si la présidence tourne dans les îles,la paix et la richesse tournent de même.
Mohamed keldi