Des centaines de villages de ce pays, mais surtout de l’Ile de Ngazidja survivent depuis des années dans la précarité. Les nombreux appels à l’aide de cette population, que l’administration désigne de périphéries, n’ont jusqu’à lors eu de suite mais ont plutôt abouti à des promesses jamais suivies. Cette situation a ainsi contraint ces villages oubliés, avec un soutien des représentants des consommateurs, du monde économique et du tissu associatif, de demander à ces administrés malheureux de pleurer à voix haute afin d’espérer une oreille alternative de la part des gouvernants.
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