Le gouvernement a décidé d’utiliser tous les moyens pour que les chauffeurs des taxis reprennent le travail. Selon le journal Alwatwan, le ministère public accuse les 13 chauffeurs d’entrave à la libre circulation et a requis une peine d’un an d’emprisonnement dont trois mois fermes et une amende de 50 000 chacun.
Et contre le porte-parole du syndicat, le procureur de la République a requis un an d’emprisonnement dont quatre mois fermes avec une amende de 250 mille francs. Le délibéré est renvoyé au 21 de ce mois.
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