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Jusqu’alors, un sans faute pour Azali

Opinion libre : Chapeau! le führer AZALI gravit les marches majestueusement et sans résistance vers la conquête de son royaume.
D’abord, il paie le prix fort des assises personnelles. Il dit que tout le monde était là: l’ONU, l’UE, l’UA, les Anjouanais, les mohéliens et même les mahorais.
Mais de quels mahorais nous parle le dictateur?
La manœuvre a parfaitement marché sur une opposition en plastique et une communauté internationale prête à voir des gorilles peu intelligents s’entre tuer.

Ensuite, viennent le moment d’égorger les institutions, la constitution comprise. AZALI organise son référendum avec moins de trois cent votants dans toute l’île de Ndzouani. Son armée privée, le PIGN assurera le reste et le scandale de « Sanfil », la main sectionnée d’un gendarme sera terriblement exploitée par le pouvoir. Il n’est pas impossible que l’odieux acte soit l’oeuvre de la dictature.

L’opposition sera rattrapée et un bon nombre d’entre eux emprisonnés et rendus inéligibles.
La communauté Internationale restera muette de ces problèmes internes entre comoriens. L’opposition montrera sa soif de pouvoir par les contacts stériles à Beit-Salam dont MOUIGNI BARAKA se passait pour le champion.
Le chapitre final reste les élections anticipées qui vont introniser AZALI, roi des Comores en Avril 2019. Le mois fétiche du dictateur. Son coup d’Etat Ndimou/Ndrimou de 1999 s’est fait en Avril.
Dans cette dernière épisode, AZALI a encore traîné l’opposition dans la boue puisqu’elle tombe dans le piège d’aller dans son élection; ni la main mise d’AZALI sur les institutions en charge des élections, ni l’impossibilité d’une sécurisation des élections, rien n’arrête l’opposition handicapée de l’UPDC et du JOUWA à aller à la mort certaine de la république.
AZALI feint de respecter les règles du jeu électoral mais sape les droits en toute circonstance.
La non réactivité de la Communauté Internationale à la suite de la déclaration de l’AMBASSADEUR DES COMORES AUX NATIONS UNIES, suivie quelques heures plus tard de l’invalidation de son passeport diplomatique par le MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES des Comores serait la justification qu’AZALI a des alliés trop puissants. Nous ne baissons pas les bras.
BEN ALI.

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3 commentaires sur Jusqu’alors, un sans faute pour Azali

  1. SI,seront des vraies élections ,les Comoriens entrain d’ attendre des observateurs , internationaux, ( l’ AMISEC DE 2006) pour sécuriser des vraies élections.s’il s’ agit de mascarades électoraux , le remede restent à tous les vrais candidats DE NGAZIDJA qui ont soucies AU PEUPLE COMORIENS

  2. j’espère BEN ALI que c’est vrai vous ne baissez pas les bras mais je ne sais pas dans quelle idée vous faites allusion, approchez-vous avec vos amis à Campagnard, lui préparez à se déclarer Président par intérim au des résultats du 1er tour même s’il n’est pas au 2ème tour, c’est lui Campagnard qui pourra diviser l’armée et les comoriens, ensuite obtenir quelques pays africains qui le reconnaissent et le peuple fera le reste……sans cette déclaration officielle soit sur les réseaux sociaux ou en rassemblant les gens à la place de l’indépendance,……azali regagnera BEIT-SALAM à moins que tous ces candidats sont complices de cette mascarade qui se profile sous le ciel comorien.

  3. AZALI à gagner.
    Il gagne toujours.
    Ce pays n’a aucun un avenir.
    Il devrait être rattaché à la Tanzanie ou le Mozambique.
    Je ne suis pas fière d’être comoriens. Je suis un anjouanais.
    On aurait dû soutenir Mohamed bacar…

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