En réponse à la grève déclenchée par les contractuels de l’hôpital Elmarouf, Mme Rahama ( porte-parole de ce mouvement) a été licenciée par le directeur général de l’hôpital de référence des Comores. Je pense que cet acte est un mépris vis-à-vis des sacrifices faits par les soignants depuis le mois de février jusqu’aujourd’hui.
Ces méthodes injustes sont à bannir. Le droit de faire une grève est garanti par le code du travail.
Pour le respect du corps soignant, Mme Rahada doit être réintégrée.
Ali Mbaé
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