Habituellement, dès les prémices de l’avènement du mois du ramadan, les commerçant revoient en hausse les prix de leurs produits et ce sans que le gouvernement ne bronche. A un mois du ramadan 2017, les mêmes pratiques sont entrées en vigueur avec actuellement le kilo des ailes de poulet qui atteint les 1200 dans certains zones alors que le gouvernement l’avait placé 800 et 900 francs Comoriens. Le poisson quant à lui se négocie à partir de 2500 francs alors que le sucre a connu une hausse vertigineuse depuis bientôt un mois. Bien que le gouvernement ait à maintes reprises appelé à l’ordre les commerçants, rien ne change. Heureusement, le ministère de l’intérieur vient d’annoncer une descente sur le terrain pour la police afin de veiller à ce que les choses reviennent à la normale. Tout ceci ne fait que renforcer le sentiment que ce pays est géré par dirigeants qui n’ont rien à foutre de sa population et que tout un chacun peut agir à sa guise.
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