Oustadh Aboubacre, l’actuel grand mufti de la République, fut parmi les premiers ulémas qui soutenaient Sambi en 2006. Il a tenu pas mal de discours dans des meetings politiques notamment à Ajao à l’époque. Sa rage anti Sambi remonte en 2008 quand son beau fils Andjib fut emprisonné suite au dossier de Comores Hydrocarbures, alors que Sambi est encore le président de la République. Hier dans une allocution, il n’a pas hésité à qualifier Sambi de « ennemi numéro 1 de la nation comorienne ».
Il l’accuse d’être celui qui a ouvert grand les portes au trafic de drogue. Il n’a pas pipé un mot sur les agressions sexuelles dont la plupart des coupables sont des enturbannés comme lui.
des propos irresponsables. sans dignité humaine.