La corruption, les détournements de fonds publics,… poussent comme des champignons dans les sociétés d’État. Les comptables publics s’enrichissent. Aucun contrôle n’est fait. Pire lorsqu’ils ne respectent pas les lois avant de commencer leurs travaux.
Le président de la cour de compte lance un cri d’alarme : « les comptables publics nommés dans les établissements à capitaux publics n’ont pas prêté serment ni verser une caution contrairement à ce que l’ordonnance qui régit la comptabilité aux Comores prévoit « , Ahmed Elarif Hamid
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