Les enseignants de l’université des Comores à travers leur organisation syndicale refusent d’effectuer la rentrée scolaire.
Ils accusent le chef de l’État comorien de leur avoir humiliés en nommant encore une fois un administrateur à l’université tout en bafouant les règles qui régissent l’université des Comores : << pas de rentrée sans le vote d’un nouveau président >>, martele le secrétaire général du SNEUC. En effet, après l’avortement de l’élection du président de l’université des Comores en 2018, Azali Assoumani s’était permis de nommer un administrateur provisoire en attendant la reprise de l’élection. Au lieu d’organiser la dite élection, il s’autorise à placer des gens illégalement à cette institution. Cette fois, les enseignants semblent déterminés à faire barrage aux dérives d’Azali Assoumani
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