Très remontés contre Azali Assoumani et son gouvernement, les opposants politiques réfugiés en France ont déclaré la guerre contre le chef de l’État. Ils ont même arrêté des dates précises. Au-delà du 23 novembre prochain, la non convocation du collège électoral signifiera le début d’une guerre qui n’aura autre but que le départ d’Azali et son équipe.
Cette déclaration n’est pas passé inaperçu chez le gouvernement en général, le ministre de l’intérieur Mohamed Daoud en particulier : » vous avez tous entendu. Ils ont même arrêté des dates. Sachez qu’ils viendront s’expliquer prochainement. Nous ne tolérerons pas. Chacun d’eux doit nous expliquer pourquoi ils disent des telles choses » a-t-il déclaré dans une cérémonie tenue à Anjouan
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