Contrairement à ses compagnons de l’opposition qui, une fois reçu par Azali Assoumani ont ensuite déclaré que la rupture avec le Qatar était la bonne décision, Mohamed Ali Soilihi (Mamadou) a tenu à se désolidariser de cette position. Pour l’ancien candidat à la présidentielle, le gouvernement aurait du patienter, attendre l’évolution de la situation avant de prendre une telle décision aux conséquences désastreuses pour les Comores. Selon certaines indiscrétions, le royaume wahabite aurait mis la pression sur le gouvernement pour qu’un choix soit fait rapidement entre les deux protagonistes. Contrairement aux propos de Msaidié ou de Larifou, Mamadou parle de désapprobation, d’une décision brutale et d’un moment inopportun ». Il a fait part de la consternation des partis de l’opposition par conséquent, on peut estimer que Msaidié et Larifou ont parlé pour leurs propres intérêts. Il aurait fallu selon Mamadou, suivre les pas des autres pays qui prônent le dialogue. Ce raisonnement recoupe celui de l’ancien gouverneur de Ngazidja, Mouigni Baraka Said Soilih. Pendant ce temps, Larifou…
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