Les clients et les entreprises nationales méprisés.
La Banque pour l’industrie et le Commerce – Comores, maque de chéquiers depuis maintenant plusieurs semaines. Les clients se rebiffent, les entreprises nationales aussi. Les uns victimes d’un je-m’en-foutisme désagréable car pas informés au préalable. Les autres, victimes d’une simple mise à l’écart sur l’appel d’offre.
Voici des propos d’une proche du dossier, défendant la banque : « Tout le monde sait qu’on lance toujours nos demandes d’offre via les medias locaux, au profit des nationaux. Mais cette fois-ci, on ne savait pas qu’il y avait des entreprises locales capables de faire ce travail.
Ce n’est qu’après l’arrivée des listes de demandes internationales qu’on s’est rendu compte », et c’est déjà trop tard, car « la phase de demande de l’offre est presque terminée, nous allons procéder à la sélection ». Des affaires floues et opaques. Car personne n’ignore la qualité de service du géant ‘’Graphica Imprimerie’’, un national de renom.
Nawal
Réagissez à cet article