Membre influent du parti Ridja dont le chef n’est autre que Said Larifou, fervent supporteur du régime actuel et de sa volonté de l’émergence, Me Baco n’est plus aussi bruyant. Celui qui démarrait au quart de tour lorsqu’on parlait de l’émergence est soudainement devenu muet. Que s’est-il passé ? Pourquoi ne chante-t-il plus la même chanson que Larifou qui sillonne le monde en faveur d’Azali ? Baco s’attendait à une récompense de son parti par le régime d’Azali Assoumani et Mohamed Daoudou.
Une chose est sûre, il est devenu moins visible, moins réactif et moins (serein ?) sur les réseaux sociaux, lui qui ne laissait rien passer. En ces temps où, les politiques sont amenés à prendre position et à se prononcer quant à l’organisation prochaine du référendum, le silence de Baco soulève des questions quant à la stratégie de son parti. Larifou fait-il cavalier seul en se rangeant derrière le pouvoir ? Baco a-t-il perdu son influence et sa place au sein du parti Ridja ? Serait-il moins convaincu par les actes du pouvoir ? Autant de questions qui attendent des réponses.
Je me demande vraiment où ils ont vraiment appris le droit ces individus . Comment des gens qui se prennent pour des intello juristes donnent la main à un putchiste fou , malade et maudit? Trop pathétique, l’histoire vous jugera bande de voyous déguisés en avocat.