La fonction présidentielle est loin d’être comparée à celle d’un gouverneur. Tout d’abord, cette fonction exige la maîtrise de deux politique:
Premièrement, la politique intérieure doit être assurée et celle-ci demande des gens compétents et impartiaux, notamment le dépassement des clivages régionaux.
Secondement, la politique extérieure à laquelle doit être à la hauteur du monde d’aujourd’hui.
Or, ni la politique intérieure, ni celle de l’extérieure ne pourra être assurée par ce prétendant de Beit-Salam.
Par ailleurs, pour prétendre à une fonction présidentielle, il faut d’abord s’élever au delà des clivages, et pourtant, ce candidat non seulement qu’il a du mal à faire l’unanimité dans sa région natale, mais aussi dans l’ensemble de la grande Comores.
Donc, se focaliser seulement sur le clan d’ignafwambaya, n’est autre qu’une erreur politique majeure.
Outre, penser qu’en incorporant les ennemis de l’état comorien dans une campagne présidentielle sera bénéfique, est une vieille méthode. Les notables sont les ennemis du paradis car ils participent à la ruine du pays.
Ensuite, il faut insister sur le fait que ce gouverneur a tout fait sauf le bien du pays. Il est parmi les personnes de l’état qui ont émasculé le peuple comorien.
D’ailleurs, certains témoignent qu’il a acheté toutes les terres fertiles, toutes les boulangeries, des visas pour les revendre. Il s’avère qu’une partie de la notabilité comorienne ont un salaire fictif.
Donc, pour être responsable, il faut d’abord savoir réunir sa famille avant de se projeter vers l’ensemble des comoriens.
Imani
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