Opinion libre: Un ridicule arriviste qui est prêt à vendre son honneur, celui de son île pour être appelé Ministre; SOUNHADJ n’est pas un exemple, mais il nous a fait la description d’un individu sous ordres, habitué à la servitude et ayant une déficience mentale.
Face à une réalité qui a touché en plein cœur tout anjouanais et tout comorien intègre, le petit homme fait l’avocat du diable dans une affaire d’Etat d’une gravité sans précédant.
Après son scandale avec SOUNHADJ qui mérite un procès en règle après la fin de la dictature, s’estimant n’avoir rien à perdre, l’enfant de Mutsamudu, plus bête qu’un âne, mais qui est convaincu être mieux qu’un intellectuel de la brousse comme ANISSE, par exemple veut s’attaquer à l’ambassadeur comorien auprès des Nations Unies SOILIH.
Ce dernier a osé dire ce qu’aucun Chef d’Etat au monde n’aurait dit si ce n’est un génocidaire.
Il révèle qu’AZALI a dit ne pas aimer les anjouanais car il est convaincu que les anjouanais n’aiment les wangazidja. Et il avance la solution: nous devons empêcher définitivement les anjouanais à parvenir à la haute fonction de l’Etat.
Si on n’avait une Haute Cour encore libre dans le pays, AZALI devrait être entendu et poursuivi pour propos haineux et tentative de politique génocidaire contre son propre peuple;
si on avait des politiciens, les rues seraient prises d’assauts par les militants de leurs partis pour demander des explications et des condamnations.
S’il y avait un peu d’orgueil de notre capitale, MAHAMOUD SALIM HAFI devait être considéré persona non grata sur l’étendue de l’île d’Anjouan, Mutsamudu en particulier.
Nous n’oublierons jamais.
BEN ALI.
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