Il avait un rêve, il était une des plumes de Houmedi Msaidié, il avait suivi le ministre de l’intérieur non pas par conviction politique mais simplement parce qu’ il est de sa famille. C’est un intellectuel qui rêvait d’être ministre du livre. Mahmoud Ibrahim est réduit au silence depuis le 15 mai. La défaite de Mamadou et Msaidié a brisé ses rêves. Mais il a toujours gardé une porte de sortie en cas de défaite, son espoir s’appelle Boléro.
On aurait aimé, lire Mahmoud Ibrahim et ARM mais la démocratie ils ne connaissent pas. Patrice Abdallah, chargé de communication de Mamadou a félicité Azali et lui a souhaité de redresser le pays. Voilà un exemple de ce que les comoriens attendent des intellectuels.
La victoire d’Azali c’est la victoire du peuple contre le système que représente Mamadou. Le deuil continu chez le camp Mamadou, ARM, Mahmoud ont perdu définitivement toute crédibilité.
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