«Les jeunes qui ont été recrutés, intégrés, titularisés et reclassés dans l’administration de Ngazidja ne sont pas de nationalité étrangère. Ils ont le droit comme les autres d’être recrutés dans la Fonction publique de l’île». Pour l’ancien fonctionnaire au commissariat à la Production, Ahmed Maoulida, cette mesure de licenciement est «tout simplement vengeance politique.»
La décision conjointe du commissaire à la Fonction publique et du commissaire aux Finances de Ngazidja de suspendre les actes de recrutement, d’intégration, d’avancement et de reclassement ainsi que les contrats signés entre le 1erjanvier et le 23 mai 2016 continue de faire grincer des dents. Les agents frappés par cette mesure n’entendent pas faire profil bas et promettent de descendre dans la rue pour protester contre «cette décision à la fois illégale et anticonstitutionnelle.»
Ali Abdou /Alwatwan
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